
Je suis longtemps resté un grand fan de Robert Silverberg , ou tout au moins de ses romans des années 1968-1976. Et puis il y eu Le Château de Lord Valentin et toutes ses suites, une abominable série soporifique à mourir dans laquelle Silverberg abandonnait toute imagination pour mieux remplir son porte-feuille. Bref, pendant une vingtaine d'année, Robert Silverberg fut mort. Et puis il y eut Le Grand silence , et Roma Aeterna . Pas nécessairement des grands romans, mais de bons romans, plus personnels, plus soignés et intelligents. Aussi n'avais-je guère de crainte en...