Archives > 2016-03
Le Belial a lancé une toute nouvelle collection qui ne peut que me remplir d'aise: "Une heure lumière", avec pour principe publier des textes ni courts, ni longs, des novellas, pour reprendre un terme venu d'anglo-saxonie, bref, le plus souvent ce qu'on appelait encore roman il n'y a pas plus de trente ans, avant que les auteurs ne se mettent à délayer à outrance. Mais là, donc, 150 p., supposées lues en une heure. En vérité, il m'a fallu un petit peu plus que ça, mais peu importe.
Ça fait longtemps que je suis la carrière d'écrivain de Thomas Day, un formidable auteur de...
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J'adore Leigh Brackett. Je l'ai déjà dit ici et ici , par exemple. Mais il y avait un court roman que je n'avais pas encore lu d'elle, Les Hommes stellaires, datant de 1952. La chose a été traduite deux fois en français, et mon choix s'est porté sur la version parue au Masque en 1974.
Michael Trehearne est a priori un humain comme les autres. Mais lorsqu'il fait la...
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Il est toujours difficile de faire la critique d'une anthologie, du fait de la nature forcément diverse des textes. Bestiaire humain, dirigée par Christine Luce aux éditions Bibliogs ,...
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